Animée par Morgan Labar, directeur de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon, cette rencontre avec l’artiste Vir Andres Hera abordera des thèmes cruciaux et actuels tels que la migration, l’exil, l’identité de genre et des cultures. Leur discussion se tiendra en anglais.

Vir Andres Hera, artiste et cinéaste, est diplômé·e du Mo.Co. à Montpellier et du Fresnoy – Studio national des arts contemporains. Iel a effectué plusieurs résidences, notamment à la Casa de Velázquez à Madrid, et a été exposé·e dans des institutions renommées comme la Biennale de Lyon, la Gaîté Lyrique à Paris, ou encore le Haus der Kulturen der Welt (HKW) à Berlin.

Morgan Labar, historien et critique d’art, est directeur de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon (ENSBA Lyon), après avoir dirigé l’École supérieure d’art d’Avignon (ESAA) de 2021 à 2024. Il enseigne également à l’École du Louvre et au département Arts de l’ENS-PSL où il coanime le séminaire « Autochtonie, hybridité, anthropophagie ». Il est l’auteur du livre La Gloire de la Bêtise. Régression et superficialité dans les arts depuis la fin des années 1980.

Cet événement est organisé en collaboration avec le groupe de travail « Théorie de l’art et production artistique à l’heure de la migration globale » de l’Ulmer Verein (AG Kunsttheorie und Kunstproduktion im Zeichen globaler Migration). Se tenant au DFK Paris sur deux jours, cette réunion annuelle a pour objectif de constituer les deux sous-groupes « Antiracisme et post-migration » et « Écologies relationnelles ». Le programme inclura également un atelier débat (en allemand) intitulé « Penser les relations. Défis méthodologiques pour l’histoire de l’art » ainsi qu’une conférence (en anglais) de Deborah Laks sur les pratiques artistiques dans l’enseignement. 

Pour toute information complémentaire, veuillez contacter Lena Bader (DFK Paris), Birgit Hopfener (Carleton University / Universität Freiburg) et Mona Schieren (Hochschule für Künste Bremen).